BusinessBuilders actualites

Des nouvelles de notre partenaire dans la SILICON VALLEY:

Michel KTITAREFF, et ses associés continuent d'implanter des "start-up" françaises aux USA. Fort de leur connaissance des investisseurs locaux (capitaux-risqueurs, fonds de pension, business-angels,...), cette équipe est capable de financer rapidement des projets français, monter une équipe pour attaquer le marché américain en assurant ainsi une forte croissance internationale à des sociétes françaises innovantes et à fort potentiel de développement. L'équipe assure également en plus de la levée de fonds, le recrutement des "key people" pour conquérir le marché américain.

 

Une seconde bulle Internet ?

Se poser cette question montre que la frilosité des investisseurs constaté depuis 2000 est en train de disparaître.

Le nombre important d’opérations en cours en est la preuve, tant au niveau des investissements en amorçage / développement qu’au niveau des nombreuses entrées en Bourse ( Rue du Commerce, Meetic,..). Il faut également noter un marché des actions en très forte hausse depuis Janvier : 22% pour le CAC,  + 37% pour le CAC Small 90, 5.5 fois le cours pour Hi-Media, 85.2% en 3 mois pour ArtPrice,….

En plus de ces effets, on peut noter des capitalisations boursières très fortes par rapport aux performances économiques :

150 Meuros pour Auféminin.com avec un bénéfice net attendu de 3.6 M€ pour un CA de 8.4M €.

140 M euros pour Hi-Media avec un bénéfice net attendu de 1.6M€ .

La chasse aux pépites de demain est donc ré ouverte pour le grand bien des entrepreneurs.

Octobre 2005

 

Nouvelle levee de fonds d’un million d’euros dans les logiciels.

Mai 2005 : nouvelle levee de fonds d’un million d’euros dans les logiciels
La societe Sparus Software vient de realiser une levee de fonds d'un million d'euros aupres d'AXA Private Equity, fonds specialisee dans les investissements non cotes. Sparus Software est une societe francaise recente, editeur de la suite logicielle "EverySync", middleware d'infrastructure de mobilite pour entreprises qui etendent leurs processus metiers aux utilisateurs nomades. Les secteurs vises par ce produit sont ceux de la logistique de la maintenance industrielle, du BTP, de la sante, de la distribution et de la gestion de parcs.
Samedi 14 mai 2005

 

Les capital-risqueurs cherchent a financer de nouveaux projets.

Une etude menee par les cabinets Deloitte et Audencia, a partir d'un echantillon representatif du tissu innovant national, revele les intentions des investisseurs d'ici a la fin de l'annee. Il en ressort egalement que les fonds publics et les ressources personnelles des createurs financent la majorite des projets en France. Les investisseurs et les "business angels" n'interviennent que dans 10 a 20% des dossiers. Dans 30% des cas, les createurs d'entreprises ont recours aux emprunts bancaires. (article signe Chantal Houzelle) Source : Les Echos du 04/05/2005

 

 

 

Quel est le mode de remuneration des intermediaires specialises en Fusions-Acquisitions & levee de fonds ? Qu'est-ce qu'un «Front Fee» ou «retainer»?

Les cabinets specialises en Creation- Transmission - Reprise d'entreprises se remunerent generalement et principalement au succes de l'operation pour lesquels ils ont ete mandates : le « Success Fee ».

Pour un mandat vendeur, le Success Fees represente souvent un pourcentage du montant de l'operation, degressif de 10 a 3 % en fonction de la taille de l'operation. Pour mandat d'achat, l'interet de l'acheteur est d'acheter le moins cher possible, et il n'est donc pas inutile de songer a d'autres modes de remuneration comme par exemple un montant fixe, ou un montant dependant du chiffre d'affaires de la cible et non pas du montant de la transaction. Ainsi, le cabinet n'est pas tente d'augmenter le prix d'achat pour augmenter sa remuneration !
Neanmoins, en plus de ce Success Fee, les cabinets pratiquent egalement le « Retainer » ou « Front Fee » : il s'agit d'une remuneration initiale versee a la signature du mandat de vente ou d'achat. Celle-ci est calculee en fonction de l'importance du travail necessaire au demarrage de la mission. Dans le cas d'un mandat de vente ces honoraires couvrent le temps necessaire a faire l'evaluation de la societe et a la redaction du memorandum de placement. On parle d'un nombre significatif de jours. Certes le taux journalier d'un consultant-senior (entre 800 et 1200 euros/jour) n'est pas applique, mais ces honoraires sont en general compris entre 3'000 et 8'000 EUR.

Demander un Front Fee permet egalement de tester la reelle motivation du signataire du mandat et d'impliquer fortement le cabinet qui n'a alors plus l'impression de travailler « sans filet ». En effet, il n'est pas rare de voir un cedant ou un acheteur se retracter apres plusieurs mois realisant qu'ils n'etaient finalement pas prets pour l'operation envisagee. Sans Front Fee, le cabinet se retrouve alors sans avoir touche la moindre remuneration alors que le travail fourni peut avoir ete important. Si le principe du Front Fee est acquis, l'intermediaire est toujours pret a trouver un mode de fonctionnement pour rassurer le vendeur ou l'acheteur dans cet investissement initial. Par exemple, dans le cas d'un vendeur : - si sa tresorerie est limitee, le mandant peut par exemple rediger lui-meme le dossier de presentation mais avec le risque que ce dernier soit incomplet ou mal organise.

De plus, le temps que le chef d'entreprise prendra a realiser ce document ne doit pas venir au detriment de l'activite de sa societe qui se doit d'etre au mieux avant la cession. - reduire le montant paye initialement et planifier un deuxieme versement apres remise du memorandum, voire eventuellement un troisieme apres presentation d'un certain nombre - a definir - d'acheteurs Dans le cas d'un acheteur, on pourra par exemple facturer des honoraires apres chaque dossier presente et accepte.

En conclusion : la remuneration principale d'un intermediaire se fait au succes de l'operation. Neanmoins, les Front Fees permettront d'impliquer fortement les deux parties - intermediaire et mandant - et de bien valider les motivations du mandant et donc de maximiser les chances de reussite de l'operation. Lundi 3 janvier 2005.